Wish Upon A Star. NEW: Chap 13 Pg.16

Voilà une des fics que j'écris. Lol. L'idée m'est venue après avoir écrit "Beautiful Soul". Je voulais changé de point de vue traditionnel à savoir une fille qui rencontre un gars et tout ce qui s'en suit xD. Donc du coup, j'ai fait la situation inverse. Voilà, c'est à peu près tout ce que je peux dire au sujet de cette fic. A oui, lol. BONNE LECTURE les miss.



Enfant, j'avais demandé à ma maman pourquoi elle écrivait tout le temps. Elle m'a répondu : «à chaque fois que tu es triste, en colère, heureux... peut importe ton état d'âme du moment, écris-le sur un bout de papier, ça aide beaucoup». Depuis ce jour là, je n'ai jamais cessé de le faire. J'écris toujours, même en plein milieu de la nuit, avant de me coucher... même avec mon métier de chanteur. Maman avait eu raison, elle a toujours eu raison. Adolescent, la musique d'un rappeur m'avait aussi beaucoup aidé à me libérer. A cette époque, j'avais beaucoup de violence à l'intérieur de moi... Aujourd'hui, j'étais un homme de 24 ans encore attaché aux jupes de maman. Je souris malgré moi, avec ce qu'on avait vécu tous les trois, je n'avais pas honte que l'on me traite de «fils à maman». C'était ma mère qui avait fait de moi ce que j'étais aujourd'hui, c'est grâce à elle si je suis arrivé à sortir de la voie qui était sans doute tracée pour moi. C'est aussi grâce à maman que j'ai découvert ma passion pour le chant. Je lui dois tout, absolument tout.

je veux bien une suite moi
ça à l'air intéressant

Ah je veux trop le 1er chapitre

Hihi je vais voir ce que je peux faire. :)
Merci les filles!

Ptdrrrrr. Il tue tout ce smiley.

bah oui fo etre honteux de c paren^^
c bien sa lee

la suite a kan???

So. Chapter One. :)


Je n'avais trop rien à faire ce jour-là, je décidai de sortir flâner dans les rues de Londres. C'était sur que je me ferais taper sur les doigts par mon manager s'il me voyait là, à bailler aux alouettes. Je marchais la tête en l'air, sans destination précise mais mes pas me menaient chez maman. C'est vrai qu'elle m'avait dit de passer la voir si j'avais le temps. Je lui avais dit que j'essaierais mais que ça n'allait pas être facile et puis finalement, je marchais tranquillement vers sa maison en sifflotant. J'étais arrivé devant la porte et je frappai.

- Qui est-ce ? demanda la voix de maman qui était dans la cuisine.
- Devine ! Je lui répondis.
- Lee ? demanda-t-elle
- Je crois que tu viens de gagner au loto !

Je l'entendis se diriger vers la porte et ouvrir celle-ci à la volée.

- Je croyais que tu n'aurais pas la possibilité de venir...
- Les choses ont faits que j'ai pu.
- Je suis contente de te voir. Ta sœur Gemma est là aussi.
- Super...
- Ne soit pas bête Lee, je sais très bien que tu l'adore.
- Oui je sais.
- Allez entre.

J'entrai. Ma sœur, Gemma avait pointé le bout de son nez à la porte du salon. Elle me dit.

- Salut Lee !
- Salut Gemma !

J'allai lui faire la bise. Ça faisait longtemps que je n'avais plus vu son visage. Par moment je me demandais même si nous n'étions pas jumeaux mais elle était plus âgée que moi de deux ou trois ans. Gemma s'est mariée il y a deux ans, quand j'étais encore un membre à part entière du groupe Blue, elle avait eu une petite fille, ma nièce dont j'étais particulièrement amoureux. Une chose que notait Antony, Duncan ou Simon, tous trois pères d'adorables filles était que j'adorais les enfants. Ils n'ont pas tort, je suis déjà complètement gaga de ma nièce alors ma propre petite fille... je n'imagine même pas. Ma nièce porte le doux nom d'Olivia. Maman arriva avec un plateau dans lequel il y avait une montagne de cookies et une théière accompagnée de trois tasses.

- Alors Lee, comment ça se passe ta carrière ? me demanda maman tout en posant le plateau sur la table du salon.
- Ça va, je n'ai pas à me plaindre.
- Et où est ta petite amie ?
- Oh, elle. Elle est partie vendre notre histoire aux journaux comme toutes les autres. Du coup, elle a prit la porte.
- Désolée...
- Ne le sois pas, je le savais déjà plus ou moins.

Je demandai soudainement à Gemma.

- Gemma, comment va Olivia ?
- Elle est malade, John s'occupe d'elle.
- Elle a attrapé quoi ?
- La varicelle.
- Elle l'a depuis longtemps ?
- Non, quelques jours seulement.
- Ok.

Dans ma poche, mon portable se mit à vibrer. Je regardai en vitesse qui c'était et vit le nom de mon ex sur l'écran.

- Je reviens tout de suite.
- D'accord. Me répondirent-elles en chœur.

J'allai donc dans le jardin pour décrocher. A peine avais-je appuyé sur la touche verte qu'elle me cria dans les oreilles.

- Pourquoi tu as fait ça ? Pourquoi tu m'as plaquée ?
- Parce que tu as raconté notre histoire aux journaux. Je t'ais prévenue pourtant que je ne supportais pas ça mais tu l'as fait quand même.
- J'y aie été forcée !
- Ne me mens pas !
- Mais... mais c'est vrai. Mes amies m'ont forcée à le faire.
- Je m'en fiche que tu ais été forcée ou non. Pour moi le fait est que tu l'as fait.
- Finalement, elles avaient raison, tu n'es qu'un sale petit con.
- Très bien si ça peut te faire plaisir de m'insulter, ne te gênes pas continue. Au moins, ça me prouve que tu es une vraie salope.

Je raccrochai juste après.

- Toutes les mêmes... pensais-je. N'y en a-t-il pas une seule de différente ?

Je rentrai de nouveau dans la maison, mon humeur à moitié assombrie. Je m'excusai auprès de maman et Gemma, emportai quelques cookies avec moi puis, repris le chemin de mon appartement. Pour moi, il n'était plus question de brise tiède, et de belle journée d'été mais de ciel gris avec de gros nuages noirs annonçant un violent orage. Je n'étais même pas arrivé chez moi que mon portable n'arrêtait pas de vibrer dans la poche droite de mon jean. Je n'en avais plus rien à faire d'elle, elle avait trahi ma confiance. C'était quelque chose que je ne pouvais pas supporter, c'était comme si je retournais en adolescence où la seule personne en qui on pouvait avoir confiance, c'était soi-même. Comment avoir une relation sérieuse et stable si toutes les filles avec qui j'étais se moquaient délibérément de moi en racontant nos histoires à la presse à scandale ? Mon portable avait arrêté de vibrer. Elle devait être lasse de ne pas pouvoir me cracher toute sa stupidité à l'oreille. Mais quelque chose me disait que j'allais la revoir devant la porte de mon appartement. Je ne fus pas déçu. Arrivé à mon étage, elle était là, le dos contre la porte, bien résolue à avoir une explication... Je n'étais pas vraiment d'humeur à lui en fournir une. J'allai encore avoir une dispute sur la conscience... mais bon tant pis, elle le voulait, j'allai le lui donner.

- Je n'ai pas envie de m'expliquer aujourd'hui. S'il te plaît, laisses-moi rentrer chez moi.
- Non.
- Mindy...
- Non Lee. Expliques-moi !
- Il n'y a rien à expliquer, je te l'ai dit au début de notre relation que je ne supporterais pas de voir notre histoire dans les journaux à scandale.
- Je ne l'ai pas voulu. Je te le jure.
- Je m'en fiche. Pour moi les faits sont là. Je ne cherche pas à savoir si c'est toi qui l'a fait ou non. Maintenant vas-t-en et trouves toi un autre crétin à manipuler.

A mon plus grand soulagement, elle s'en alla. M'insultant encore une fois de tous les noms possibles qu'elle connaissait dans son vocabulaire. Je rentrai chez moi et me dirigeai avidement vers la salle de bains. Je pris ma douche et alla me coucher.

une suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

tu sais combien jadoore tes fics, et jte lai redis en live cette aprem.

je passe en coup de vent , pendant la pub d'ugly betty
je lirais demain promot

Merci les filles.
Charls, je sais. . J'adooore les tiennes aussi. Et me taaarde de lire la mini enfin achevée!!

Chuuuuuuuuuut XD j'vais porter plainte pour harcelement mdr
tkt elle sera prete cette semaine c'est sur, et si c'est pas ce soir, ce sera jeudi promis. ;)

alala...En tout cas, ton point de vue de Lee Ryan, ca fait du bien de le relire.

ah tro bien!!!!!!!!!!
le povre cmt y se fé harcelé par mindy
fo la jeté dun pont
comme sa on en é ts débarassé

lee papa poule???obligé
perso jle voi tro bien ac un gosse


la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

La suite bientôt. Dans le courant de la semaine :) sans doute.

Trop bien , vivement la suite ...
dsl pour ce com merdique mais jsuis vraiment pas d'humeur

J'ai vu Joh tkt pas. :)
Tu te rattraperas après :).
J'exige pas de commentaires longs de 30 lignes. Vous faites au feeling. Tant que ça plaît, ça me convient.

Bon et bien le temps libre est devant moi pour le moment. Alors Here is Chapter Two.



Une fois dans les draps, j'essayais de trouver le sommeil en vain. Je me retournais toutes les deux minutes dans un sens puis dans l'autre en repensant à cette journée qui avait pourtant bien débutée, il avait fallu qu'elle gâche tout. Enfin, demain est un autre jour.
Le réveil brailla et cracha son immonde sonnerie à 7h00, je me levais pour m'habiller. Aujourd'hui, j'avais une séance de dédicaces à 13h30. Allez savoir pourquoi on marquait toujours les horaires de début et jamais ceux de fin. Tout ce que j'avais envie de faire pour la journée, se résumait en peu de choses, j'avais juste envie de me vider la tête. Les cris des fans n'allaient sûrement pas arranger mon mal de tête mais je ne pouvais pas les blâmer après tout, j'aurais fait de même si j'avais été à leur place. Je pris mon petit déjeuner à l'intérieur. Dehors, le ciel était gris et la pluie ruisselait le long des vitres de l'appartement... J'allais ensuite m'installer devant mon piano espérant que jouer quelques notes improvisées me videraient la tête mais ça aussi me laissait de marbre, insensible. J'avais l'impression que quelque chose s'était fermé en moi, peut être à cause de ce trop plein de «trahisons». Au fond, je me sentais trahi, je n'étais pas un salaud comme elles le disaient dans ces journaux remplis de mensonges que les autres ne savent pas voir, tellement avides d'avoir des «informations» sur leur célébrité préférée. J'étais sorti dehors, il faisait froid, le vent anormalement gelé et violent m'avait fait avoir la chair de poule. Je frissonnais. Le froid, ou plutôt cette douche froide m'aida à me calmer, à taire l'incendie de colère qui brûlait mon être de l'intérieur. Après tout, je savais que la célébrité comportait ce genre de soucis. Il fallait que je vive avec, sacrifiant peut être le vrai bonheur de la stabilité familiale. Je rentrais à l'intérieur, me sentant mieux, légèrement mieux, je me devais d'être bien pour mes fans si je ne pouvais l'être face à moi-même. Les idées plus claires, je me repostais devant le piano, bien décidé à sortir quelques notes pour gribouiller quelques mots sur un bloc-notes.
Déjà 11 heures. Aller, courage mon gars. Je me motivais malgré moi, que dirait mon manager en me voyant comme ça ? Il me sortirait sûrement l'un de ses monologues favoris mais bon... j'allais me changer de vêtements, n'aimant pas tellement ceux que je portais actuellement. Je fouillais dans mon immense placard à moitié désespéré de ne pas trouver ce que je voulais mais au moins ça m'occupait. Peut être pour de brefs moments mais sur le coup, j'avais vraiment les idées fixées sur quelque chose. Je tenais déjà le pantalon, l'empoignant fermement de peur qu'il retombe dans le tas, de mon autre main, il me fallait chercher une chemise et une veste. Euréka ‼ J'avais trouvé ! Ouf. En revanche, il fallait que je réarrange cette partie là du vaste placard. Elle était sans dessus dessous... Plus tard... J'allais me laver rapidement et enfiler les vêtements. Tout juste sorti de la salle de bains, trois coups frappés à la porte me firent comprendre que mon manager était arrivé. J'allais à la porte et la lui ouvrait.

- Parfait, tu es prêt ! me dit-il à la place du traditionnel bonjour.
- Je n'allais pas rester au lit.
- Bien. Si tu es prêt, on peut y aller ?
- Oui.

Je fermais mon appartement à clés et descendit jusqu'au rez-de-chaussée accompagné de mon manager. Je me demandais pourquoi il m'agaçait autant ces temps-ci. Il avait des répliques plutôt acerbes qui avaient le don de me mettre sur la défensive. On monta dans la voiture qu'il avait ramenée exprès pour l'occasion et nous nous mîmes en route. Peu avant l'entrée du Virgin méga store, je vis pour la première fois le nombre de personnes qui aimaient ce que je faisais. Tout le trottoir était bondé. J'attrapais le tournis et un fourmillement connu remuait mes entrailles. C'était l'excitation. Pas des besoins physiques mais plutôt le genre de bon stress, celui qui motive et pousse à donner le meilleur de soi-même. J'étais heureux de savoir que ma musique plaisait. Je sortais de la voiture et les cris s'élevèrent dans l'air ; milliers de bulles d'euphorie venant s'incruster à l'intérieur de mes poumons. Une fois assez proche d'eux, je collais «mon sourire spécial fans» sur mon visage et avançais. Je posais pour quelques photos puis entrais à l'intérieur. Les armoires à glaces laissèrent peu à peu entrer les filles surexcitées, il ne leur fallut pas plus de deux secondes avant d'être agglutinées les unes aux autres devant la table où je me trouvais tout sourire. Dès lors, plus de répit. Je signais à tout bout de champ risquant le blocage du poignet mais ce n'était pas si grave. Alors que je relevais la tête, je vis une jeune fille peut être fan de ma musique, mais elle ne s'avançait pas... Au contraire, à peine avait-elle passé la porte qu'elle était reparti dehors. Il est vrai que je recevais parfois des mails d'une fille. Peut être elle ? Mais comment savoir... Tant pis, j'attendrais de voir si jamais j'avais du temps libre. Les autographes continuèrent de défiler devant moi mais mes pensées se tournaient et se retournaient au sujet de cette fan... Même à la fin, je pensais encore à elle et le regard furtif qu'elle m'avait jeté. Mon manager me ramena chez moi dans la même voiture que pour le départ. Il était plutôt content que finalement je «marche bien» selon ses dires. En montant les escaliers jusqu'à l'étage de mon appartement, ma tête était ailleurs, elle vagabondait, assemblait des bribes de mots construisant peu à peu des phrases... Je grimpais déjà les marches quatre à quatre, je ne voulais pas perdre cette soudaine inspiration. Une fois rentré, je ne pris même pas la peine de manger un morceau. J'écrivis ma chanson avec l'idée de la chanter en italien plutôt qu'en anglais. Les idées fusaient, j'en avais presque mal à la tête. L'ébauche de chanson finie, j'allais me poster dans un des fauteuils retournant encore l'étrange attitude de cette fille.

ah jaime de tro!!!! etre ds sa tête sa déboite!!!!!!!!!! lol
je veu une suite!!!!!!!!!!

Loool merci miss! :)

chapitre 1

oh un tonton gateau
héhéhéhé c'est souvent ça avec le 1ér neuveux ou la 1ére nièce
l'un des avantages de naître en 1ére

rha quelle garce cette Mindy
tsss elle lui a détruite son aprém chez maman
tsss faudrait la bailloné et la jeter dans la Tamise

et en plus elle a le culot de venir devant sa porte
va-si Lee pousse la dans l'escalier
alalala non mais elle est grave c'te nana
puis si elle crois que les insultes vont l'aider a changer de position
bah ma pauvre fille t'es loin de compte


la suiteeeeeeeeeeeee

chapitre 2

arf cette Mindy
elle lui aura casser les pieds jusque dans son sommeil
arf faut la faire disparaitre

dit donc bien matinal le jeune homme
levé a 7h pour 13h30
pas mal quand même
il aurait pue trainer un peu plus au lit

ah mais qui est donc la fan mystére ?????
si sa se trouve c'est pas une fan
juste une nana qui voulait un cd
et quand elle a vue le monde elle sait dit
non merci je reviendrais

oh bah alors tout chambouler par cette fille
alalal Lee arrête de te faire des filles voyons

quoi que tant que sa lui file l'inspiration


la suiteeeeeeeeeeeeee

xD Merci Lise!!
Sont excellents tes commentaires
La suite en prévision de ce week end ou dans la semaine si je peux :).

Mercii !!!

bah de rien contente qu'ils te plaisent

J'adore ce genre de comm's. Ca file toujours le sourire :).