Wish Upon A Star. NEW: Chap 13 Pg.16

alé fo kelle se confie a lee!!
vu ke lui il lui parle bcp!!

moi jsui dacor ac jake
lee commence a tombé amourueux^^
é c bon signe sa!!!

nonnnnn iol a été viré de sa maison de disk!!
alor la jen revien pa!!!

la suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAh le baiseeeeeeeeeeeeeeer enfiiin !!!! celui qu'on attendait touuuuuuuuuus!! ou du moins depuis le debut, depuis la première phrase, depuis le premier je l'attend celui laa et il se pointe enfiiin! dans une ambiance des plus romantiques en plus, si c'est pas chouw tout ca! alala...dis le Ryan...il se perds dans ses sentiments c'est trop chouw comment...je sais pas il essait de la connaitre un peu mieux, il essait de la comprendre, de la proteger aussi...raaa je craque. A se confier l'un a l'autre, a melanger leurs bulles..ca a lair super bien partie tout ca et peut etre qu'il va enfin connaitre la meme chose qu'Antony notre reveur de famille :) j'aime bien le Lee de ta fic, il est sentimental et doux...ca change. mimi tout plein les deux! a fort caractere? mmmh ils se cherchent plus j'dirais et c'est exellent comment elle le rembarre parfois le Blondinet.^^
tout chouw...raaa j'adoooreeee!!! m'tarde la suite ma twinny!!!

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Loool. Merci les filles.
Pooky > Vive la réédition xD
Angèle > Je tape d'abord la suite à mon autre fic et ensuite je m'occupe de celle là.

oki tapote tapote^^

mon com a déja été fait sur ton blog :)
je dirais donc qu'une seul chose , j'adoreuhhhhhhhhhhhh wow
et je veux la suiteuhhhhhhhhhhhhhhhhhhh

Merci Joh!
La suite après l'autre :)

Didou a écrit:

Loool. Merci les filles.
Pooky > Vive la réédition xD
Angèle > Je tape d'abord la suite à mon autre fic et ensuite je m'occupe de celle là.

Non meme pas mdrrr jai rajoute deux phrases ici de plus que sur ton blog!:P :P :P

C'est la même chose dans l'ensemble xD
Pas d'excuses!

c'est toi aussi qui met ta fic partout mdrrr

Pas celle là

un blog, ce forum...deja deux commentaires differents c'est chaud a faire Xd et puiiis rooo...d'abord elle devrait etre partout tant elle est bien!!!

xD t'en qu'à faire tu vas créer un site internet et la mettre dessus et donner l'adresse à Lee

pourquoi pas? mdrr j'la fais editer et j'lui envois pour son annif!

Ptdr

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AlllOoOoOo :drunken:

La suite je m'y mets ce soir. Pour Samedi ça sera posté!
Charls > Attention, je ne poste pas si tu ne mets pas mon comm mdr :P

il y sera. depuis quand tu fais chantage hein? mdrrr en plus tu le sais que j'suis bcp prise en ce moment....snifou...mais j'vais essayer j'ai dit. Mais penalise pas les autres pour moi.

Tkt pas xD
C'est pas méchant xD je menace mais je fais rarement

tu m'aimes trop pour ca

Euh ouep ptet même un peu trop xD

en tout cas j'lache pas l'affaire....

Ca je le savais aussi xD

Voilà la suite :)

Si je ne l’avais pas embrassé maintenant, je ne sais pas si je l’aurais fait un jour. Du moins de manière si spontanée et non prévue. Mais, il me fallait lui dire d’une manière ou d’une autre qu’elle me plaisait et sur le coup, c’était ça ou rien. Ça faisait trop longtemps que les mots de Jake me résonnaient dans les oreilles, un bourdonnement incessant voulant se faire entendre et reconnaître pour apparaître au grand jour sans pudeur ni honte. La sensation que j’avais de me sentir complet en tant qu’homme faisait un bien fou à cet organe qui bat tous les jours où l’on respire plus ou moins facilement selon les épreuves que l’on doit traverser pour arriver à son but. Là, en train de l’embrasser, plus rien n’existait. Je ne voyais seulement que nos deux corps. Je m’enlevai de notre étreinte, soudainement anxieux de sa réaction. Je restai muet à la regarder, essayant de savoir ce qu’elle pensait de moi après cette semi-déclaration mais son visage restait impénétrable, son regard dans le vague… l’envie de demander me brûlait les cordes vocales mais je restais muet.
On s’en alla du parc en silence. Cependant, un détail s’imposa à moi tandis que j’entendis le clic propre aux appareils photos: Lilie avait mis sa main dans la mienne. Je resserrai mes doigts dans les siens. Nous arrivâmes chez moi en milieu de soirée. J’avais l’impression que tout entre nous se faisait en silence. Je veux dire par là qu’on faisait ce qu’on avait envie sans rien demander à l’autre sans pour autant se foutre de l’autre. Si ça devait se faire, ça se faisait. Personne ne cherchait l’autre pour l’amener là où il voulait. Tout suivait son court, tranquillement. Pourtant, j’avais cette sensation d’avoir un peu bousculé ce court tranquille. Mais à ce moment là, j’en reviens à si je ne l’avais pas fait, qu’est ce que j’aurais fait à la place ?
Nous étions l’un en face de l’autre, pensant peut être à la même chose. Aux conséquences qu’allaient entraîner cet acte entre nous. Je sais que je répète un peu la même chose depuis tout à l’heure mais le silence n’a jamais favorisé l’oubli. Soudainement, Lilie parla.
- Merci de m’écouter. Je veux dire, j’apprécie vraiment que je peux me confier à toi. C’est un sujet que j’évite d’aborder quand je n’ai pas confiance. Du moins pas la confiance que j’ai avec toi. C’est vraiment sympa de partager des choses qui ne sont pas faciles à aborder autant pour toi que pour moi. Surtout qu’on est presque dans la même galère. Enfin… lol. Je parle mais tu en penses quoi ?
- Non c’est vrai, tu as raison. C’est rare de trouver des personnes qui savent écouter. Pour tout te dire, je n’en connais que quatre : ma Maman, ma Sœur, Antony et toi.
- Je n’ai, pour ainsi dire, que toi.
- Quelle chance, je suis unique ! lol.
- Oui mais qu’est ce que tu peux être Blond !
- On ne peut pas tout avoir.
- Non c’est vrai mais faire des efforts, ça existe.
- Je sais. Trop de sérieux tue le sérieux.
- Philosophe maintenant ?
- A mes heures.
- Tiens donc !
- Pas courant chez un Blond comme tu dis si bien.
- Non c’est vrai. En tout cas, j’ai bien apprécié cette journée et ton baiser.
- Tu n’as pas été surprise ?
- Non. A dire vrai, je crois qu’on a assez joué la comédie entre nous. Depuis le début, tu ne m’as pas laissée indifférente. Tu as beau être célèbre, tu restes les pieds sur terre et puis contrairement aux hommes que j’ai « connu » avant, tu as un cœur qui sait ce qu’il vaut, de quoi il est fait. Tu ne te prends pas pour ce que tu n’es pas.
- Ça me fait plaisir d’entendre ce genre de mots. Lire des mensonges dans les journaux déteints un peu sur l’humeur et même si je sais ce que je suis, ça rassure de voir qu’il y a des gens qui ne se fie pas à ce qu’ils savent de nous dans les journaux. Et puis, j’ai aussi eu les mêmes sensations que toi. Par rapport à mes ex, tu es simple. Tu ne cherches pas à maquiller ce qui te gêne chez toi. J’aime vraiment les gens qui savent être vrais autant avec eux-mêmes qu’envers les autres.
- C’est vrai que ces gens là sont rares. Mais tu sais je n’ai pas l’impression que dans le parc tu m’as fait un vrai baiser.
- Ah ? Remarque, tu as raison.
- Montre-moi de quoi tu es vraiment capable avec un baiser.
- Comme tu veux. Ne viens pas dire que tu es dépendante après.
- Ok.
On se souri et je m’approchai d’elle pour lui donner ce qu’elle voulait et je l’avoue, moi aussi. Je commençais à ne plus avoir honte de la désirer comme je la désirais dans mon fort intérieur. Nous étions enlacés, collés l’un contre l’autre en plein milieu du pallier de l’entrée de mon appartement pile en face de la baie vitrée à la vue et au su des voisins mais je m’en foutais. Tout ce que je voulais c’était vivre ce moment, vivre ce baiser comme jamais. Je dois confesser que la seule chose qui me semblait naturelle ce soir c’est qu’on aille continuer cette ivresse dans ma chambre. Oui je sais, c’est un vice ancré profondément chez moi. Mais ce qui changeait, c’était la façon dont je voulais l’aimer. Je voulais la rendre heureuse par ce que je lui faisais, ce serait la seule chose qui me rendrait heureux. Mon plaisir passerait par le sien. Plus de plaisir égoïste, juste partager complètement. Je parti dans son cou, lui disant dans un souffle « je t’aime Lilie », elle me répondit de la même manière. Tous mes membres tremblaient de plaisir et d’excitation et la respiration saccadée de Lilie ne faisait rien pour arranger mon état. Mais j’aimais me rendre malade rien qu’à se stade là. Je l’entendis me chuchoter d’aller dans ma chambre et j’obéis, la lâchant à regrets l’histoire de quelques minutes qui paraissaient déjà une éternité mais peut être valait-il mieux s’arrêter là.
Cette fois là, allongés dans les draps, nous n’étions plus chacun d’un côté, mais la tête de Lilie reposait tranquillement sur mon torse. Nous nous embrassâmes une dernière fois avant de sombrer dans le sommeil. Inconsciemment, je savais qu’un sourire flottait sur mon visage.
Cette nuit là, il ne m’en fallait pas plus pour savoir que j’étais définitivement heureux en compagnie de Lilie : la femme que j’espérais depuis tout ce temps.