Wish Upon A Star. NEW: Chap 13 Pg.16

promis me too..

La suite traîne.. Je suis pas vraiment motivée pour écrire :s j'espère pouvoir bientôt cependant. Désolée.

Merci Pooky! J'ai recommencé pour la troisième fois hier. M'enfin j'espère pouvoir m'en tirer avec ce que j'ai.

JE VEUX LIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIRE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Oui Oui je m'en occupe après mon exam de demain.

Courage ma belle:D

ah alors j'te dit un gros M***e pour demain

Big merci à vous deux! Je vais essayer d'y réfléchir aussi maintenant vu que mon exam ne commence qu'à 14h pour 5 à 10 min d'oral mais j'ai peur de ne pas trop pouvoir écrire. Pour une suite finie et postée (si tout va bien ) d'ici ce week end (voire avant) en revanche, si rien ne va, au plus tard en début de semaine prochaine.

je sais, j'viens d'lire ton mail. Xd
hope t'voir demain Xd

J'ai bien avancé dans ma suite mais elle est encore un peu "courte" . Bientôt vous l'aurez

Hihi

great, good news:hi.:

Bientôt le début d'une troisième page Je sais que ça peut paraître long, mais vous ne serait pas deçues de la suite xD

comment l'etre de tes fics en meme tps Xd

Elles sont pas extra xD (vas pas me dire que tu les trouves géniales quand même? )

Voilà la suite ^^. Bonne lecture!!



J’étais sur le point de faire la vaisselle quand Lilie m’annonça :

- J’ai réfléchi à propos de ce que tu m’as dit tout à l’heure.

- De m’accompagner aux Etats-Unis ?

- Oui. Je veux bien t’accompagner.

- Tu es sure ?

- Oui.

- Super ! Merci.

Elle me sourie. Alors que je m’apprêtais à mettre les assiettes dans l’évier et couler de l’eau, les doigts de Lilie retournèrent chatouiller mon dos. Elle était revenue parcourir, un rien tentatrice et provocatrice, les contours de mon tatouage, celui du shaman pour être précis. Malgré moi, mon souffle s’accéléra. Ses doigts continuèrent leur exploration sur le devant de mon corps : mon ventre, mes pectoraux, mes hanches…

- Je nous laisse aussi une chance… souffla-t-elle, même si je meurs de peur, je sais que j’ai envie de toi et besoin de toi…

- Moi aussi j’ai besoin de toi… soufflais-je. On va faire un tour dehors en voiture ?

- Si tu veux. Mais où ?

- Ça, c’est ma surprise. Alors habillons-nous ! Je ne voudrais pas louper ça.

- Ok.

Dehors, le temps était tout juste idéal. On se serait encore cru en pleine saison estivale en début de soirée, où la chaleur cessait d’être étouffante pour permettre une douce promenade, alors que c’était une soirée d’automne. L’endroit où j’allais emmener Lilie était quasiment désert, personne n’y allait (ou peu). C’était une petite colline qui surplombait légèrement une partie de la ville. Je pressais légèrement Lilie de monter dans la voiture et démarrai. J’arrivai tout juste à temps. Lilie voulu protester :

- Pou…

- Regarde plutôt. Lui dis-je en lui posant un doigt sur la bouche.

Une à une, les lumières s’allumèrent alors que le soleil continuait sa descente sur l’horizon plongeant toujours un peu plus la ville et ses alentours dans l’obscurité.

- C’est magnifique. Chuchota Lilie.

- Tu vois chaque lumière qui s’allume. J’en ai autant qui viennent illuminer ma vie quand tu souris.

- N’exagères pas Lee…

- C’est pourtant vrai. Dis-je en me retournant vers elle et en lui prenant la main. Tu me fais exister en tant qu’homme, un homme qui n’a strictement rien à voir avec ce que je suis devant un micro. Il est vrai que je reste un homme mais dont le cœur bat pour la musique qu’il veut exprimer et jusque là, ma musique ne me servait qu’à chasser ma peine tout en gardant l’espoir d’être à nouveau amoureux. Je ne suis pas le genre d’homme qui aime rester seul, j’ai toujours eu besoin de compagnie…

Il m’en coûtait de lui dire tout ça. Mais si je ne le faisais pas maintenant, je risquais d’en perdre l’occasion et de perdre aussi le courage de le lui dire. Contre toute attente, comme j’avais baissé la tête, elle la releva et m’embrassa.

- Peu m’importe tes justifications, me dit-elle après que nos lèvres se soient décollées, c’est ce que tu es dans ta totalité qui m’intéresse. Ton passé est ton passé, j’ai aussi le mien et il est révolu. Il y a quand même des événements qui peuvent sembler revenir et se répéter mais ça nous aide à construire ce qui sera plus tard…

Je l’embrassai à nouveau. Puis nous sortîmes de la voiture pour s’asseoir dans l’herbe où je m’allongeai pour regarder les étoiles mais Lilie se pencha au dessus de moi et me ré embrassa. Assise face à moi, nous continuâmes nos baisers. Mes mains caressaient son corps tant de fois désiré, à cela s’ajoutait l’ardeur toujours plus pressante de sentir nos corps se frôler. Mes mains s’aventurèrent sous le polo de Lilie la faisant lâcher un petit cri de surprise puis elle se recentra sur nos baisers dont la passion ne cessait de s’accroître de seconde en seconde nous entraînant toujours un peu plus dans sa folie sans fond, où j’aime sombrer. N’avoir que l’autre dans son champ de vision, être à l’origine du plaisir qu’elle éprouve, simplement être le seul capable de lui arracher des sourires qui en feraient pâlir les rayons du soleil…

- Je t’aime Lilie, murmurais-je en la regardant dans les yeux, le souffle court.

Je l’entendis à peine murmurer qu’elle m’aimait aussi puis se rapprochant de moi pour me chuchoter à l’oreille un « tu nous fait rentrer à la maison » que je n’avais pas très envie de suivre mais c’était de loin la première fois de Lilie et je me devais de la lui offrir comme elle l’entendait et voulait. Je m’entendis répondre « oui ma puce » et nous nous quittâmes pour remonter dans la voiture, l’envie quelque peu douchée mais il me suffisait de regarder distraitement Lilie du coin de l’œil en train de jouer avec les boutons de son polo pour avoir de nouveau envie d’entendre sa respiration s’accélérer et voir sa poitrine monter et descendre en suivant le même rythme effréné. Une fois arrivés à l’appartement, je pensais que nous allions tranquillement reprendre là où nous nous étions arrêtés, mais je me trompais… à peine le temps d’un baiser, la malice pétillait dans les yeux de Lilie me rappelant ce jour où nous nous sommes poursuivis dans tout l’appartement en criant comme des gamins.

- Tu ne te laisseras pas avoir, je me trompe ?

- Non, tu as raison. Mais avoues que c’est quand même mieux quand on doit tout faire pour obtenir ce qu’on veut plutôt que de n’avoir qu’à demander pour qu’on se jette à tes pieds. Tu ne crois pas ? demanda-t-elle d’un air faussement ingénu.

- Tout compte fait, dis-je, tu as raison, mais au final, le résultat est le même.

- Certes, mais tu auras la satisfaction d’avoir mérité ce que tu veux. Non pas que tu sois indigne de moi, c’est même tout le contraire pensa-t-elle au même moment, mais je pense que le plaisir et la satisfaction sont doublés quand on arrive à avoir quelque chose qui semble vouloir nous échapper à tout instant et au dernier moment sans même qu’on l’ait vu venir…

- Rien ne nous en empêche maintenant…

- Je sais. Mais il y a une chose que tu dois savoir…

- Laquelle ?

- J’adore jouer les petites pestes dès que j’en ai l’occasion. Dit-elle fièrement sa malice toute retrouvée et renforcée.

- Au moins, tu ne seras pas déroutée quand nous attaquerons les jeux polissons…dis-je tout aussi taquin.

- J’attends de voir de quoi tu es capable, mais avant… dit-elle en passant un doigt le long de mon torse en se mordillant la lèvre inférieure et me regardant avec des yeux pétillants ce que je trouvai terriblement excitant en ce moment même...

- Je vais devoir t’attraper. Soufflais-je en baissant un peu la tête pour plonger mon regard dans le sien.

Lilie se mit à pouffer et détala sans demander de reste dans l’appartement avec moi sur les talons. Je réussi à la plaquer une fois contre le mur pour l’embrasser puis la relâchai. Elle arriva avant moi sur le lit où elle était assise, essoufflée. J’arrivai, tout aussi haletant dans l’embrasure de la porte, avant de dire :

- Partie terminée !

- Tu crois ça ? répondit-elle taquine jusqu’au bout.

J’approchai à pas de félin vers ma « proie », un sourire taquin scotché au visage.

- Hé là !

Je me stoppai net et demanda.

- Quoi ?

- Déshabilles-toi. Ce n’est pas juste sinon…

A ce moment là, je réalisai que Lilie n’avait pour seuls habits que ses sous-vêtements blancs. Je m’exécutai, enlevant d’abord mon pull puis mon pantalon et allai la rejoindre. Me savoir déjà « presque en condition » suffit à me donner des frissons. Lilie tremblait, voyant la suite des événements défiler dans un coin de sa tête. Je m’approchai d’elle pour l’enlacer et lui dit :

- Même si j’en meurs d’envie, je serais capable d’attendre pour toi…

- Ne dis pas de bêtises Lee… depuis le début on a envie de se sauter dessus… c’est moi qui suis en retard sur nous. Tu es là pour moi c’est tout ce que j’ai besoin de savoir et d’avoir à l’esprit chaque fois que je te vois.

Ne me laissant pas le temps de répondre, elle dégrafa son soutient gorge et m’embrassa avec juste ce qu’il fallait de sensualité pour « me remettre dans le bain de cette journée ». J’allongeai Lilie sur le dos puis m’installai à côté d’elle sur le flanc pour caresser ses seins et embrasser son cou. Précisant mes caresses, Lilie ne fût plus en mesure d’étouffer ses gémissements ; elle les mêla pourtant à nos baisers accentuant encore le désir qu’on osait à peine consommer alors qu’on était quasiment fou. Le moindre frôlement nous arrachait des cris de plaisir. Enlevant le dernier vêtement de mon corps, j’enlevai la petite culotte de Lilie et fini par lui faire l’amour jusqu’aux premières lueurs de l’aube.

Okiii. Merci.

Lise : Ptdrrrrr. Merci de ton com ;)

:clown: tu sais ce que j'en pense Ma Perverse Pro.

8) Oui oui je sais xD